Crystal Stone
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 Carlisle Norman Jayden.

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Carlisle Jayden
Carlisle Jayden
Petit dernier du quartier

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Carlisle Norman Jayden. Vide
MessageSujet: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 0:57


Inventé

Summary

Nom --
    Jayden.

Prénom(s) --
    Carlisle Norman.

Date et lieu de naissance --
    29 Novembre 1980 ~ Slidell.

Âge --
    Trente-neuf ans.

Groupe --
    Simples habitants.

Métier / Études --
    Procureur de la République, après une année anarchique en Science Politique, puis neuf, plus stables et fructueuses malgré un redoublement, en Droit.

Avatar & Photo --

Carlisle Norman Jayden. 109078adrien_1
† Adrien Brody




Carlisle Norman Jayden. Ab
Carlisle Norman Jayden. Ab1
Who I am


Ma vie jusqu'à ce jour --
    D'aussi loin qu'il se souvienne, les premières années de sa vie ont été tracées par la maladie. Un mal sans nom qui le faisait renifler constamment, qui l'affublait d'un rhume sans remède qui le condamna aux yeux de ses parents. Avoir un fils pesteux ne les gênait pas plus que ça - si ce n'était les risques d'infection qu'ils prenaient en le côtoyant, eux et leur fille de deux ans l'aînée de Carlisle. La gêne occasionnée se résumait à une certaine pitié hypocrite, de celle qui survient lorsqu'on cherche une excuse à son humanité. Ils tentèrent tous les traitements possibles et imaginables ; en vain. Jusqu'à ses cinq ans, Carlisle éternua, se moucha, essuyait des larmes irraisonnées avec désintérêt. N'ayant jamais connu que ça, il l'intégra comme un quotidien à peine plus gênant que le réflexe inné de se gratter un bouton de moustique. Puis vint le jour où ses parents divorcèrent et où la garde de sa petite sœur et de lui-même revint à leur père. Ils déménagèrent, changèrent de maison, d'habitudes, et peu à peu sa curieuse maladie disparut. Les sinus se dégagèrent, les yeux cessèrent d'être humides, les éternuements laissèrent place au silence. Un week-end chez sa génitrice et dans la maison de son enfance suffit à faire revivre les symptômes, et avec eux une multitude de théories. La seule valable laissa place à une conclusion aussi ridicule que risible : Carlisle était allergique aux fleurs. Ce qui causait son allergie ? Du papier toilette senteur lilas que sa mère affectionnait tout particulièrement et avec lequel il se mouchait tous les matins en plus de l'utiliser quotidiennement pour sa toilette. Depuis, Carlisle déteste viscéralement les odeurs chimiques, surtout lorsqu'elles sont censées retranscrire un parfum floral.
    Sa nouvelle vie en compagnie de son père, de sa belle-mère, de sa grande sœur et son désormais petit frère reste tout aussi fade que ces précédentes années qui, si elles ont été ponctuées par une maladie sibylline, étaient tout ce qu'il y avait de plus banales. Carlisle était un garçon relativement sociable, et il n'eut aucun mal à se faire à son nouveau voisinage. Le problème se posa uniquement lorsqu'il commença à aller à l'école. Oh, la première année se passa à merveilles ; la seconde, celle où les inégalités commençaient à se creuser et où les personnalités devenaient de plus en plus marquées, un peu moins. Carlisle avait très tôt compris qu'être poli, gentil et respectueux était important. Que sans ça, ce serait l'anarchie. Il eut le malheur de tomber sur des camarades auxquels ces concepts échappaient totalement. Rapidement, il tomba en phobie scolaire, et ses visites à l'école se firent de plus en plus rares. Il ne cacha jamais sa peur de retourner en classe ; confiant toutes ses peines et sa détresse à ses parents (sa belle-mère était une femme très aimante et compréhensive, il n'eut aucun mal à l'aimer tout autant que sa génitrice), ils comprirent très vite que le forcer à retourner en établissement public était inutile. Ils le retirèrent et commencèrent une scolarisation par correspondance. Bien plus adaptée à Carlisle, il devint travailleur et obéissant, ne rechignant jamais à faire ses devoirs. Cette phobie scolaire l'obligea néanmoins, rétrospectivement, à effectuer un travail sur lui-même. Il en vint à la conclusion que cette réaction qu'il avait eu face à la violence, à la cruauté infantile et à l'insouciance de ses petits camarades était due au sang indien qui coulait dans ses veines. Ce sang, bien sûr, n'existait pas. Ce qui ne l'empêcha pas de passer deux années de sa vie, de huit à dix ans, à dormir sous un tipi artisanal et d'effectuer des coutumes dont il ne mesurait pas toute la portée. Bien que dérisoire, cette période lui apporta une très grande humilité.
    Quitter la maison pour l'université ne fut pas la grande déchirure à laquelle Carlisle s'attendait ; il se sentit un peu nostalgique, tout au plus. Ses résultats excellents et ses diplômes aux félicitations redondantes lui ouvrirent les portes de la Science Politique, qu'il choisit pour son aise à manier les mots. Là, il comprit qu'il ne serait jamais assez corrompu pour ça, et la reprise en société du jour au lendemain le déstabilisa totalement. Il passa une année chaotique où il apprit l'alcool, la drogue, la jeunesse. Rien de durable ni d'aliénateurs, mais il en resta malade plusieurs jours. Ses déboires amoureux commencèrent à la même période, et son premier baiser marqua la longue malédiction qui lui collerait aux basques lorsqu'il s'agirait d'y faire avec les femmes. Sa première petite amie fut en fait un garçon androgyne au prénom mixte, et la supercherie dura deux longues semaines avant que ses potes de l'époque ne décident, hilares, de lui avouer la vérité. Depuis, ce fut comme si le Destin s'acharnait à lui faire comprendre qu'il existait des êtres condamnés à vivre seul leur vie durant. Il en faisait indéniablement parti. Il claqua la porte de la Science Politique sans regrets et s'engagea dans la noble voie du Droit, déchantant rapidement face à la foule qui y régnait. Il repiqua sa première année, en désespoir de cause, mais s'accrocha tant bien que mal. Quelque part, il se répétait que cette voie était faite pour lui, pour la simple et bonne raison qu'il ne savait rien faire d'autre. Il n'était pas manuel, ni artistique. Il ne possédait que sa culture et sa capacité innée à manier les mots pour former de jolies discours et de poignantes plaidoiries. La seconde fois fut la bonne ; passant outre le monde constant dans les amphithéâtres ou les couloirs, il se révéla particulièrement brillant puisque parfaitement à l'aise. Son passage en seconde année fut célébré par un coma éthylique, et il ne retoucha plus jamais à la bouteille, incapable de la supporter davantage.
    Longtemps, il hésita quant à son futur métier. Il envisagea, comme la plupart de ses camarades, de devenir avocat. Rapidement cependant, l'idée de devoir défendre des pourris lui souleva le cœur. C'est donc tout naturellement qu'il se voua à devenir Procureur. Le travail était plus éreintant mais Carlisle se plaisait dans les études ; il était un théoricien, et passer son temps à apprendre des bouquins aussi barbants soient-ils lui plaisait, quelque part. Au fond, sa lâcheté l'empêchait de se lancer tête baissée au secours des personnes qui étaient dans le besoin. La réalité l'effrayait totalement, lui qui avait passé la majorité de sa vie enfermée dans un cocon couvé par ses parents et ses fraternels. L'obligation le rattrapa bien trop tôt et il intégra le tribunal en traînant des pieds, persuadé que sa maladresse le discréditerait si rapidement qu'il songeait déjà à s'inscrire à l'ANPE. Mais curieusement, Carlisle le timide, Carlisle le maladroit, Carlisle le rat de bibliothèque s'épanouit si brusquement qu'il ne saisit pas lui-même la nuance. Lui qui n'avait jamais rien eu pour lui, pas même une once de charisme pour rattraper la discrétion effarante de son physique inintéressant, devenait un monstre de prestance lorsqu'on lui accordait la parole. Son travail lui tenait tellement à cœur, ses nerfs l'engageaient tellement dans les causes qu'il défendait corps et âmes qu'il se métamorphosait totalement, n'hésitant pas à sombrer dans une véhémence qui pourtant ne paraissait jamais assez ridicule pour le discréditer. Certains penseraient que c'était là le signe de son épanouissement. Il n'en fut rien. Une fois la porte du tribunal fermé, Carlisle redevenait navrant de niaiserie. Ridiculisé par ses adversaires en dehors du Palais de Justice, considéré comme un sérieux rival à huit-clos, voilà ce qui ressortait majoritairement de l'aîné des Jayden. Et cette réputation à double-tranchant n'était pas prête de le lâcher.

Mon caractère --
    Carlisle est avant tout un garçon calme, posé et réfléchi. La Nature étant bien faite, pour compenser la malchance qu'il se traine depuis son plus jeune âge, Carlisle hérita d'une capacité d’analyse et de réflexion impressionnantes. En fait, son allure discrète, effacée et désinvolte ne laisse aucunement présumer ce fait. Et pourtant. Philosophe dans l’âme, c’est un pacifiste diplomate qui se sent à l’aise lorsqu'il s'agit de faire de beaux et longs discours vantant les mérites d'une société dont le seul défaut est de ne pas abolir la peine de mort. Même si cet avis a déjà risqué de le faire renvoyer, Carlisle prend le risque de toujours rester lui-même, quelque soit la situation, même si cela implique qu’il ait un temps de retard niveau réaction. Pour être tout à fait franc, sa plus grande lacune est d'être peu long à la détente une fois que la théorie est délaissée au profit de la pratique. De même, il ne comprend et ne cautionne pas la violence gratuite, et préfère pour cela rester à l’écart des grands rassemblements où se déroulent statistiquement les rixes les plus violentes. Extrêmement recentré sur ses propres émotions, ses pensées, et sur lui-même, il lui arrive de tenir de longues discussions intérieures desquelles résultent un changement d’humeur plus ou moins conséquent selon la situation. Ainsi, les personnes susceptibles de le côtoyer le pensent facilement lunatique ou instable. Pourtant, Carlisle est quelqu’un a la tête sur les épaules, et qui a un contrôle total sur ses nerfs. Aussi, lorsqu’il s’irrite (relativement difficilement dans le sens où il n’est pas susceptible du tout), il passe rapidement à autre chose sans hausser une seule fois le ton. Il ne se souvient même pas l’avoir fait un jour, de toute façon. Carlisle est un homme sensible et généreux, qui songe beaucoup aux autres malgré son nombrilisme certain dû à sa condition d'être humain ; et malgré qu’il soit le serviteur d'une société fondamentalement élitiste, il n’hésite pas un instant à penser que celle-ci soit capable d'évoluer et de faire preuve d’humanité pour contrôler sa pleine puissance à des fins bénéfiques, voire héroïques. Mais l’objectif du brun n’est pas de sauver tout le monde pour que celui-ci soit dispensé à jamais de malheurs, non ; il est trop réaliste et fataliste pour penser que cela arrive un jour. Mais, paradoxalement, il fait de son mieux pour aider ceux dans le besoin, que ce soit au niveau financier, juridique, ou tout simplement social. Carlisle est un rêveur, et adore l’océan, que sa mère avait l’habitude de comparer à lui. Souvent calme, il lui arrive parfois de faire ressortir ses ressentiments intérieurs pour les extérioriser de manière salvatrice. Et, en effet, Carlisle est une personne sensible malgré tout, et s’il intériorise tout, il vomit le trop plein de mal-être une fois seul métaphoriquement parlant. Pour sa propre santé mentale. Il est aussi curieux de tout, et rester dans l’ignorance a le don de le frustrer de manière quasi immédiate et insupportable. Carlisle fait alors tout pour y remédier, ou du moins le maximum ; d’où sa passion pour les livres, et autres écrits de connaissance. Par contre, il a une dent contre la technologie qu’il juge aliénatrice et anti-humaniste. De ce fait, il ne comprend rien aux ordinateurs et déteste conduire. Aussi surprenant que cela puisse paraître pour une personne qui passe la majorité de sa vie à analyser les mots (qu'il maîtrise incontestablement), à les décortiquer et à exposer des avis avec pertinence, une fois la porte du tribunal close et la dose d'adrénaline envolée Carlisle devient un maladroit invétéré incapable de ne pas bafouiller lorsqu'il est gêné, humilié, ou pire, se retrouve face à une belle femme. Carlisle n'a jamais connu que des échecs lorsqu'il s'agissait de partager sa vie, et il se retrouve désormais totalement démuni sans pouvoir y faire quoi que ce soit. Malgré qu’il déteste et évite la foule abondante, paradoxalement, Carlisle préfère de loin le jour à la nuit. Une fois l’obscurité tombée, il est le premier à savoir que tout peut nous arriver dans la plus grande impunité. L'homme se veut aussi le pourfendeur acharné de l’iniquité et sauve volontiers la veuve et l’orphelin des griffes des truands, même si cela se résume à sa verve. Il faut dire que, physiquement parlant, si Carlisle s'interposait dans un conflit, il a toutes les chances de finir à l'hôpital – ou pire, à la morgue ! La peur le paralyserait de toute façon bien trop tôt, avant qu'il n'ait pu faire le moindre geste. Son arme à feu reste constamment bien rangée, et il n'a jusqu'ici jamais eu à l'utiliser, grâce à Dieu.

Mon physique et mon style --
    Pour un procureur censé en jeter et côtoyant de sublimes créatures aux boucles blondes, Carlisle est tout ce qu'il y a de plus banal. L'ironie cosmique voulut qu'il n'hérite d'aucuns goûts vestimentaires, et Carlisle, de ce fait, ne sera jamais quelqu'un de remarquable. Sa taille ridiculement moyenne, 1m79, accentue son conventionnement et font contrepoids à ses soixante kilogrammes. Son boulot le contraint à prendre régulièrement soin de lui, et les mises à niveau se font courantes ; il se doit d'être un minimum sportif s'il désire continuer à accompagner l'équipe de professionnels sur le terrain. Officiellement il ne risque rien ; officieusement, si la troupe se fait attaquer à coup de machettes, il se doit d'avoir un minimum de connaissance d'auto-défense. Entre chaque période sportive, Carlisle se laisse néanmoins aller à une certaine monotonie, et ses abdos laissent alors à désirer. Heureusement pour lui, son quotidien lui inflige un rythme de vie et un stress qui l'obligent à ne jamais rester trop statique et l'empêchent ainsi d'emmagasiner des surplus de protéines. Carlisle étant un homme dépassé par la métrosexualité, il ne prend pas véritablement soin de lui. Ses cheveux ne sont pas doux et brillants, sa peau n'est pas délicate comme celle d'un nouveau-né et l'idée saugrenue de s'épiler ne lui effleura jamais l'esprit. Il se contente toujours de se coiffer d'un mouvement de poignet et de s'habiller avant de sortir de sa salle de bain. Ni plus, ni moins. Heureusement, sa tignasse est ridiculement lisse sans qu'il n'ait à faire quoi que ce soit, et de ce fait lui évite de passer pour plus débraillé qu'il ne l'est véritablement. Ce qui, soyons franc, l'arrange considérablement. Du reste, ses yeux vacillent entre le marron et le vert et son visage ovale le fait passer pour plus gringalet qu'il ne l'est réellement.

Moi, ma famille, mes amis, et les autres --
    Carlisle fait parti d'une famille si recomposée qu'il s'y perd parfois lui-même. Lors d'un éventuel arbre généalogique, il évite consciencieusement d'intégrer les nombreux cousins et cousines pour un souci de clarté. Pour la même raison, je vais en faire de même. Son géniteur et sa génitrice, tout d'abord. Jake et Elisabeth Jayden. Mariés durant dix ans, deux enfants, Sarah, l'aînée, Carlisle, le benjamin. Divorcés cinq ans après la naissance de ce dernier d'un commun accord. Ils restèrent en très bon termes. Carlisle et Sarah n'en furent jamais perturbés. Carlisle admire son père pour beaucoup de raisons et le place en très grande estime. L'amour qu'il porte à sa mère est, lui, immuable. Sarah et lui sont très proches, mais la distance géographique qui les sépare désormais les oblige à tenir un rythme irrégulier dans leurs rapports. Jake se remaria à Kathleen, elle-même mère d'un garçon d'un an le cadet de Carlisle, Gary. Relation innocente à l'époque qui devint cordiale, et désormais les deux hommes se considèrent l'un l'autre avec beaucoup de respect pour peu d'affection. Kathleen offrit à Jake un autre fils, John. Incapables de se supporter à l'époque, ils sont à l'heure actuelle comme deux doigts de la main, complices et adeptes du même humour. Elisabeth, elle, se découvrit un saphisme tardif et déménagea au Canada avec sa nouvelle compagne, Bonnie. Elles adoptèrent là une petite fille comme l'autorise la législation canadienne, qu'elles prénommèrent Nathalie. Carlisle et elle se voient une fois par an et s'apprécient sans que cela n'aille véritablement plus loin. Le fait de ne pas avoir grandi ensembles ne leur permet pas de partager le lien privilégié que Carlisle possède envers tous ses autres frères et sœurs.
    Côté amitié, disons que Carlisle possède un énorme réseau à la hauteur de ses liens familiaux. Plus ou moins proches de certains, plus ou moins complices avec d'autres. Bien que fidèle devant Dieu à ses amis et en général à ceux qui réussissent à attendrir son cœur sentimental, il n'hésite pas à tourner le dos à ceux qui l'entubent purement et simplement. Bien que miséricordieux, il ne pardonne pas les excès abusifs et, de ce fait, ses amis sont dans la grande majorité des gens de confiance avec qui ils organisent parfois des sorties lorsque son lourd travail le lui permet.





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What I do

Ma vie aujourd'hui & mes aspirations --
    Carlisle vit seul dans un appartement dans le Midtown de la Nouvelle-Orléans avec un chat de gouttière répondant au doux nom de Vacuité. Son manque de chance vis-à-vis de la gent féminine l'oblige à ne partager son lit qu'en de très rares occasions, et en cela ses affaires règnent fièrement dans le bordel le plus simple, les putes en moins. Possédant un permis de conduire mais une phobie irraisonnée de la route, il n'a pas de voiture à lui et utilise la grande majorité du temps les transports en commun. Parfois, il emprunte le véhicule de fonction laissé à sa disposition au tribunal lorsque l'urgence l'y oblige. Il est en excellents termes avec la plupart de ses collègues, même si le procureur général semble le trouver trop maladroit pour ce travail et n'hésite pas à lui remettre les pendules à l'heure quand bien même ses procès sont de véritables réussites.

Ma position vis-à-vie de la Pierre --
    Une pierre ? Quelle pierre ? Mais de quoi Diable parlez-vous ?





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How I live


Mon p'tit nom --
    J'aurais donné beaucoup pour qu'il sonne comme Carlisle. Appelez-moi ainsi jusqu'à ce que notre relation soit assez concrète pour que je vous livre mon véritable patronyme.

Mon âge --
    Vingt ans, comme le chante Lorie.

Garçon ou fille ? --
    Trop négligé pour une nana, trop gay pour un mec. À vous de faire le choix.

Comment j'ai découvert Crystal Stone --
    Un partenaire, je crois.. J'ai tellement cherché un forum que, pfiou, je sais même plus par où je suis passé.

Ce que j'en pense --
    J'aime bien ! Même si j'accroche pas aux headers représentant majoritairement des gens, là y'a une harmonie qui m'plaît bien.

J'ai quelques suggestions... ou pas --
    L'absence de ChatBox me trouble, je dois dire. Le manque d'habitude, je crois.

Le mot de la fin --
    Show must go on !




Dernière édition par Carlisle Jayden le Lun 22 Mar - 21:56, édité 10 fois
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Liberty G. Ketteridge
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 9:14

Oh bienvenue mon cher.

J'aime bien le côté mystérieux que tu donne à ta fiche, notamment dans la dernière partie ^^
Je te souhaite, en attendant, la bienvenue et bon courage pour terminer ta fiche :)
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Carlisle Jayden
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 17:37

Merci. :)
La dernière pierre vient d'être posée, je vous laisse l'honneur d'inaugurer cette nouvelle hutte. ;)
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Liberty G. Ketteridge
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 20:01

Tu es validé. Ta fiche est très bonne, ça a été un plaisir de la lire :)
Tu peux d'ors et déjà commencer à créer tes liens et des sujets.

Encore une fois, bienvenue et bonne intégration sur Crystal Stone
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Catleen Pearl
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 20:02

Bienvenue =) welcome hello
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 21:15

Merci à vous. :)
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Eirinn MacAnrai
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitimeLun 22 Mar - 21:53

Bienvenue parmi nous, cher nouveau membre, ta fiche est très intéressante et j'ai hâte de jouer avec toi !

Pense à faire inscrire ton avatar sur le listing, merci.
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MessageSujet: Re: Carlisle Norman Jayden.   Carlisle Norman Jayden. I_icon_minitime

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